Le Parisien fait savoir que » des médecins colombiens ont découvert un possible lien entre le traitement hormonal de subsititution et le développement du lupus érythémateux, selon une étude rendue publique mardi par l’Université Rosario de Bogota ».
L’Université colombienne a précisé que selon cette étude parue dans Plos One » une femme qui reçoit un traitement hormonal de substitution présente un risque 1,96 fois plus élevé de développer le lupus »
Le Parisien relève que « l’enquête […] a porté sur l’analyse de 7000 cas de femmes saines et malades. Les auteurs de l’étude insistent toutefois sur le fait qu’un traitement hormonal n’entraîne pas nécessairement l’apparition d’un lupus ».
L’Université Rosario de Bogota a indiqué que » ce thème n’est pas encore résolu et il faudra encore réaliser des études afin de répondre à la question s’il y a une relation entre les hormones et le développement du lupus ou son exacerbation ».